jememontre

J’avais 20 ans, j’étais étudiant, et ce matin la, j’allais en cours, je partis donc de la maison de mes parents, pour aller prendre le métro.

Je devais marcher plus ou moins 10 minutes avant d’arriver à la station de métro qui se trouvait la plus proche de mon habitation.

La route est toujours la même, au bout de ma rue a droite, puis toujours tous droit, puis encore a droite et la station de métro étais devant moi, dans les 2 minutes après avoir pris ce dernier virage.

Sauf que cette fois-ci, ce dernier virage je n’allais pas le prendre tous de suite !

Dans cette ligne droite, une surprise m’attendait !

Je marchais donc, quand mon regard fut attirer par une femme d’un quarantaine d’année qui effectuer une tache ménagère, c'est-à-dire le nettoyage de son sol, elle était arriver au bout de cette tache et sa porte était ouverte.

Je la regardais par le plus pure des hasards, nos regards se croisât, et, c’est alors qu’elle se retournât, pour frotter une dernière fois la marche de son entrée, sauf que cette femme était en chemise de nuit, courte, c’étais même plustot un tee-shirt, elle se baissa donc, pour offrir a ma vue son postérieur, le fais de se pencher en avant, ce tee-shirt se relevas, elle n’avait pas de culotte et offris a ma vue un très jolie fessier.

Tout en continuant à regarder ce superbe spectacle, je continuais à marcher, puis elle se relevât, et moi je commençais à lui tourner le dos.

J’entendis alors : « excusais moi ? », je me retournais, pour voir que c’étais cette femme qui m’appelais !

Elle me dit alors : « bonjour, je te vois souvent passé dans la rue » et moi je lui répondis : « oui c vrai pratiquement tous les jours, je suis étudiant et je vais prendre mon métro », tout en me disant dans la tête, très jolie cette femme, elle me dit : « tu es étudiant, c’est bien cela, mais je te retiens peut-être », je ne sais pas pourquoi, je lui dit : « non, pas du tous », et la, elle m’invitât a entrer chez elle.

C’est ce que je fis, la à peine la porte fermée, elle se colas contre moi, et m’embrassa dans le cou, elle prit mes mains et les posas sur sa taille, puis me dit à l’oreille : « laisse toi faire », ce que je fis, tout en m’embrassant dans le cou, elle commença a ôter ma ceinture, puis a déboutonner mon pantalon, puis sortie mon sexe, et commença a me le caresser, puis elle descendis vers celui-ci, et commença a le mettre dans sa bouche, je n’avais pas encore d’érection, un peu déstabilisé par ce qui m’arrivais, mais ce qu’elle me faisait me donné du plaisir, et je commençais à grandir dans sa bouche, c’est alors qu’elle me mis un préservatif sur mon sexe !

Elle me pris par la main, et m’emmena dans son salon, elle me pris les deux mains dans les siennes, puis elle m’asseya sur son canapé, une fois assis, elle se mis accroupis, pour continuer a me pratiquer une fellation, ou bout de quelques temps, elle enleva sont tee-shirt, elle était nue devant moi, puis elle me leva, me redis a l’oreille, surtout tu me laisses faire, et elle me déshabillas, j’étais nu devant elle, elle me repris les mains, et je me réassis donc, j’étais toujours en érection, elle s’approcha alors de moi, pris ma main droite et la colla sur son sexe, il étais bouillant et surtout mouillé, sa main étais au dessus de la mienne, ses doigts dans les miens. Elle emmena ma main qui étais dans la sienne, et commença a caresser son sexe, par ma main, elle pencha alors sa tête vers l’arrière !

Puis ensuite, elle enleva ma main, puis, elle me chevaucha, prenant mon sexe dans sa main pour le diriger, puis doucement, elle s’abaissa sur mon sexe, puis commença des va et viens de haut en bas, elle approcha alors sa poitrine vers ma tête, je pris la décision de sortir ma langue, en espérant que c’est ce qu’elle attendait, elle ne dit rien, tout en se pénétrant de mon sexe, je lui lécher, pincer, baisers ses seins !

Nous arrivâmes tous les deux en même temps à l’extase, une jouissance incroyable !!

 

Je me rh abillas, et repartis ensuite pour prendre mon métro et arrivais en retard, même très en retard !!!

A chaque fois que je passais le matin et le soir devant sa maison mon regard se tournais, mais je ne la vis jamais, sauf une fois, ou elle entrait dans sa maison, un soir, elle me vis, en ne me dis rien,  ne me fis même pas un signe !

Je compris que cela était arrivé et que cela n’arrivera plus jamais !

 

Votre serviteur.

 

Ven 23 déc 2005 1 commentaire
T'arr^te pas en si bon chemin, continue à écrire...
Auguste - le 09/01/2006 à 01h08