J'avais dans les seize ans, une matinée comme les autres, où je me rendais en cours, j'étais alors lycéen. La matinée se passait comme d'habitude, sauf qu'aujourd'hui j'avais anglais, et j'adorais ces journées ou les cours d'anglais se profiler à l'horizon, pas pour la matière, mais totalement pour l'enseignante !

C'étais une merveille, dans les 25 ans, grande, blonde, très jolie, et surtout toujours, quoiqu'il fasse comme temps, où la saison, en jupe ne dépassant jamais les genoux, tous les garçons en étais raides dingue ! J'ai à tous jamais gravé son nom de famille dans ma mémoire.

A un tel point que l'on se battait pour se trouver au premier rang ! Rare, même très très rare pour ma part !

Il était enfin arrivé l'heure de ce cours, nous entrâmes dans la classe, et bien évidement une certaine cohue commenças, des la part des garçons pour se retrouver dans les premiers rangs ! Ce jour là, je réussis à être dans le premier rang, juste à la droite de son bureau, j'avais tiré le bon numéro, l'une des meilleures place.

Le cours commença et au fil des minutes mon attention n'était prise que par ce bout de femme qui 'excitai beaucoup.

C'est alors, me voyant dans mes pensées les plus profondes que mlle V. (je l'appellerais ainsi, et qui est réellement son entité et la première initiale de son nom de famille), m'interrogeas, ne sachant pas du tous ce qu'elle avait dit précédemment, je la fis répéter, c'est alors qu'elle s'avança vers moi, elle se trouvait à deux, trois mètres de moi, elle avait à la main un stylo, qu'elle fit tomber, pour le ramasser, elle se baissât, mais pas comme tout le monde le ferais dans ces cas là, elle se baissât en s'accroupissant, parcequ'elle savait que si elle le faisait autrement, c'est à dire en baissant son....., elle offrait à la vue des garçons qui se trouvait derrière elle, une vue magnifique de son postérieur, c'est alors, qu'au fur et a mesure de sa descente, elle offrait à mon regard, ce que j'avais rêvé tant de fois, et elle ne descendit pas en fermant les jambes, mais belle et bien en les écartant, elle offrait alors a mon regard, sa petite culotte blanche de dentelle transparente, d'où je vis qu'elle portait une coupe 'iroquoise", je ne pouvais pas enlever mon regard de cette vue magnifique, jusqu'au moment ou elle élevas la voie, la mon regard se leva alors pour aller jusqu'à son visage et je vis alors qu'elle rougissait, puis dans ses yeux je la vis passer de la honte à la colère, et la, comme si j'étais le fautif, du fait que son stylo soit tombé et surtout du fait de la manière qu'elle eu pour le ramasser, je me fis "crier" dessus !

Elle savait pertinemment que j'avais vu son entrejambes, elle c'étais offerte à mon regard, sans que je pense qu'elle ne le voulait, mais je peu vous dire que cette image est gravée à tous jamais dans mon esprit, rejoignant d'autres péripéties qui me sont arrivés et que je vous raconterais ultérieurement.

G de Lille.